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Tour du monde des arts martiaux et des sports de combat : 8ème et dernière étape - par Jeronimo le 23/10/2005 @ 11:01

Tout comme le K1 est la compétition inter-disciplinaire de référence pour les sports non-olympiques de percussion, et Abu Dhabi, celle de référence pour les sports non-olympiques de préhension, il existe une compétition pour les disciplines mixtes (alliant percussion et préhension) : le Pride Fighting Championship.

Pour commencer, il faut rendre hommage à la première compétition internationale qui proposa des combats « d’arts martiaux mixtes » : l'Ultimate Fighting Championship (créée par Rorion Gracie et organisée essentiellement aux Etats-Unis). Son but (à peine caché) était la promotion du Jiu-Jitsu Brésilien contre toutes les autres disciplines. Pendant une paire d’années (1993-95), ce fut effectivement le cas avec une « découverte » révolutionnaire dans le monde « figé » des arts martiaux traditionnels : pour être un combattant complet, efficace, il faut savoir lutter au sol pour y appliquer des techniques de soumission. Vinrent ensuite les très gros gabarits issus de la Lutte Libre (principalement des Américains) qui appliquèrent une autre stratégie baptisée « ground’n’pound » : amener au sol puis frapper depuis une position dominante. Simple mais efficace.


Cependant, aux UFC, on assistait surtout à des oppositions entre styles purement de percussion ou purement de préhension. Avec le recul d’une dizaine d’années, il faut bien reconnaître que le niveau technique était loin de ce qu’il est aujourd’hui.


En octobre 1997, un autre événement naît au Japon : le Pride. Il va supplanter l'Ultimate Fighting Championship américain qui ne deviendra à l'avenir qu'un tremplin pour accéder à son homologue nippon. Le combat vedette y voit la victoire par clé de bras de Rickson Gracie (1m78, 84 kg, maître de Jiu-Jitsu Brésilien, prétendument invaincu en 460 combats) sur la star du Catch japonais Nobuhiko Takada (1m85, 94 kg).


Puis, moins de trois années plus tard, est organisé le Pride Grand Prix 2000 : le plus grand tournoi d’arts martiaux mixtes de l’histoire contemporaine. Nobuhiko Takada est encore vaincu lors du premier tour, par Royce Gracie (frère de Rickson et surtout triple vainqueur de l’UFC). Mais en quart de finale, le Japonais Kazushi Sakuraba, transfuge du Catch et élève de Takada venge son maître en battant Royce lors du plus long combat de la décennie (prenant au passage le surnom de « Chasseur de Gracie »). Son succès est malheureusement de courte durée : en demi-finale, il bute sur l’Ukrainien Igor Vovchanchyn, recordman mondial de tournois MMA victorieux, champion de Kick-Boxing et expert de Sambo Combat. Mais finalement, c’est un colosse américain, ancien vice-champion du monde de Lutte Libre, qui remporte le Grand Prix : Mark Coleman (1m85, 110 kg).


Désormais, pour s’imposer en « arts martiaux mixtes », on ne peut pas se contenter d’une seule gamme technique (que préhension ou que percussion). Les champions qui vont succéder à Mark Coleman vont incarner cette polyvalence.


Le champion du Pride de 2001 à 2003, le Brésilien Antonio Rodrigo Nogueira dit « Minotauro » (1m90, 105 kg) est non seulement un expert de niveau mondial en Jiu-Jitsu Brésilien mais en plus, il excelle en Boxe Anglaise et s’entraîne régulièrement à la Lutte Libre et au Muay Thaï.

Son successeur n’en est pas moins complet puisqu’il est carrément issu d’une discipline mixte : le Sambo Combat (ou Combat Sambo). C’est le Russe Fedor Emelianenko (1m83, 106 kg).

Interrogé par Bertrand Amoussou, il se confie dans le magazine Fightsport n°13 de septembre 2005 : vainqueur de la Coupe d’Europe de Judo, double champion du monde de Sambo Combat, Fedor n’arrête cependant pas de chercher à s’améliorer puisqu’il est spécialement allé aux Pays-Bas, chez Johan Vos (celui qui a formé Ernesto Hoost) pour y apprendre le Muay Thaï.
Extraits :
B.A. : « Quelle importance donnes-tu au Sambo par rapport aux MMA ? »
F.E. : « Je pense que le Combat Sambo Combat est une discipline très très efficace. D’ailleurs, c’est un sport qui se rapproche beaucoup du MMA. C’est un sport très complet, ça a donc été pour moi un vecteur très efficace de reconversion dans le MMA »
B.A. : « Que penses-tu de l’apport du Jiu-Jitsu Brésilien dans le MMA ? »
F.E. : « Pour moi, le Combat Sambo est plus efficace, je n’ai aucun doute sur ça. »
Et force est de reconnaître qu’avec trois Russes, experts de cette discipline, parmi les cinq meilleurs poids lourds du monde, on peut croire Fedor Emelianenko sur parole !

NB :
  1. Fedor Emelianenko (Russie)
  2. Antonio Rodrigo Nogueira (Brésil)
  3. Mirko « Cro-Cop » Filipovic (Croatie)
  4. Andrei Arlovski (Russie)
  5. Sergei Kharitonov (Russie) 

Voir aussi :  http://www.sambofrance.org/ - http://www.pridefc.com/


Tour du monde des arts martiaux et des sports de combat : 7ème étape - par Jeronimo le 23/10/2005 @ 09:55

L’équivalent du K1 Grand Prix, mais pour les sports de préhension cette fois, se nomme (traduit en français) « Championnats du monde de Lutte de Soumission d’Abu Dhabi ».

C’est le Cheik Tahnoon Bin Zayed Al Nayan (prince d’Abu Dhabi, capitale de Dubaï, au sein des Emirats Arabes Unis) qui est à l’origine de ce projet. Grand amateur de Jiu-Jitsu Brésilien mais aussi de Lutte et de Sambo, il voulut offrir à ces disciplines l’occasion de se mesurer lors d’un tournoi annuel (puis bisannuel). La première édition eut lieu à Abu Dhabi en 1998, comme les suivantes jusqu’à 2001. En 2003, ce championnat eut lieu Brésil et en 2005 aux Etats-Unis.

Cette compétition se déroule sous forme de tournois par catégorie de poids :

  •  "jusqu'à 65,999 kg"
  •  "de 66 à 76,999 kg"
  •  "de 77 à 87,999 kg"
  •  "de 88 à 98,999 kg"
  •  "99 kg et plus".

Ensuite, ceux qui souhaitent poursuivre disputent un second tournoi : l'Absolu (c'est-à-dire le "toutes catégories").

Les grands noms de cette compétition sont ceux qui réussirent le doublé : dans leur catégorie de poids puis en « toutes catégories » :

  • le Brésilien Mario Sperry (du Jiu-Jitsu Brésilien), en 1998, multiple champion du monde de JJB et co-fondateur de la Brazilian Top Team
  • l’Américain Mark Kerr (de la Lutte Libre), en 2000, vainqueur de la Coupe du Monde de Lutte Libre en 1994
  • le Brésilien Ricardo Arona (du Jiu-Jitsu Brésilien), en 2001, élève de Mario Sperry
  • et enfin l’actuel champion : Roger Gracie (du Jiu-Jitsu Brésilien) en 2005, également double champion du monde de JJB.

La discipline qui triomphe généralement à Abu Dhabi est donc le Jiu-Jitsu Brésilien.

C’est un maître de Judo, nommé Maeda, disciple de Jigoro Kano, qui (dans les années 1920) partit enseigner au Brésil ce que l'on appelait encore le Kodokan Ju-Jitsu ou Jigoro Kano Ju-Jitsu. A la famille Gracie qui l'avait hébergé, il enseigna le Ju-Jitsu Japonais d'origine encore répandu au Japon.

En deux générations, cette famille l'arrangea à sa sauce, privilégiant le travail au sol et ne perdant jamais de vue l'aspect duel à mains nues sur un adversaire non armé. Helio Gracie, de faible corpulence, adapta les techniques destinées au départ à des guerriers surentraînés et possédant de relativement gros gabarit. Les Gracie l'appelèrent "Gracie ju-jitsu" ou Jiu-Jitsu (avec un "i") pour se démarquer du Ju-Jitsu d'origine. L'aspect sportif en dehors des randoris d'entraînement n'était pas une priorité et les pratiquants préféraient tester leurs techniques face à d'autres styles : premiers "vale-tudo" à mains nues où tous les coups étaient permis. Les premiers d'entre eux à être réellement diffusés médiatiquement hors du Brésil furent les UFC (Ultimate Fighting Championships) qui firent scandale et dont découlent les différentes compétitions de MMA (Mixed Martial Art se traduisant par « art martiaux mixtes » car combinant préhension et percussion).

A la fin des années 1990 (premiers championnats du monde en 1996), le Jiu-Jitsu Brésilien développa l'aspect sportif avec des compétitions sans les coups et essentiellement tournées vers le combat au sol (c’est-à-dire les « ne-waza » du Judo) que les américains appellent « Grappling » quand il est pratiqué sans judogi.

Sources pour écrire cet article :  histoiredesmma - kakutofrance


Tour du monde des arts martiaux et des sports de combat : 6ème étape - par Jeronimo le 22/10/2005 @ 14:32

Faute d’avoir obtenu le statut de sport olympique (comme la Boxe Anglaise et le Taekwondo), toutes les autres disciplines de percussion (Karaté, Kenpo, Kung Fu, Kick-Boxing, etc) ont la possibilité d’obtenir une aura (presque) équivalente en se mesurant lors d’une compétition inter-disciplinaire nommée « K1 Grand Prix ».

Tout commence en 1993, lorsque le maître fondateur du Karaté Seidokaikan, Kazuyoshi Ishii, organise au Japon le premier K1 Grand Prix, un tournoi où tous les sports de percussion peuvent se mesurer à son propre style de Karaté : une forme de karaté "au KO", dérivé lui-même du Kyokushinkaï (recherche de l’efficacité tandis que le Karaté Shotokan, plus largement répandu, met plutôt l’accent sur la vitesse et la précision).

Certes, les karatékas font bonne figure mais, c’est une autre discipline qui profite de l’aubaine pour s’imposer comme le style le plus efficace : le Muay Thaï (avec les poids lourds polyvalents de l’école néerlandaise).

Le Croate Branco Cikatic (champion du monde de Full-Contact en 1981, de Muay Thaï en 1987 et de Kick-Boxing en 1989) du Chakuriki Gym d’Amsterdam est le premier à s’imposer en 1993. Vient ensuite le Néerlandais Peter Aerts (champion du monde de Muay Thaï et de Kick-Boxing), lui aussi du Chakuriki Gym, qui remportera l’épreuve en 1994, 1995 et 1998. Deux autres Néerlandais accumuleront eux aussi plusieurs victoires, respectivement quatre et deux :

-Ernesto Hoost, du Vos Gym (surnommé « Mister Perfecto » pour avoir réussi à décrocher des titres mondiaux dans toutes les formes de boxes pieds-poings : Boxe Française, Muay Thaï, Kick-Boxing et Full Contact) : K1 GP de 1997, 1999, 2000 et 2002

-et Remy Bonjasky (du Meijiro Gym) : 2003 et 2004.

 

Un seul karatéka (le Suisse Andy Hugh, en 1996) et un kick-boxeur au physique atypique (en 2001, le Néo-Zélandais Mark Hunt : 1m78, près de 120 kg) empêcheront les Néerlandais de remporter tous les titres.

Cette année encore, trois d’entre eux seront présent en décembre pour la grande finale du K1 Grand Prix 2005 (tournoi à huit hommes) : le géant (2m12) Semmy Schilt, le vétéran triple vainqueur de l’épreuve Peter Aerts et le tenant du titre Remy Bonjasky.

 

Un peu d’histoire sur le Muay Thaï pour ceux qui ne connaîtraient pas cette discipline, surnommée « la boxe aux huit armes » (2 poings, 2 pieds, 2 genoux, 2 coudes).

HISTOIRE : L'origine de la boxe thaïlandaise, le Muay Thaï, est aussi incertaine que celle des Thaïlandais eux-mêmes, les Birmans ayant détruit toutes les archives de ce peuple. Une chose est sûre, le Muay Thaï fut d'abord une technique militaire de combat rapproché qu'utilisaient les rois pour régler leurs conflits. Au 18ème siècle, la Thaïlande connut une période de paix et le "Roi Tigre" Prachao Gua, pour occuper ses soldats, les obligea à s'entraîner au Muay Thaï. C'est ainsi que l'art martial des rois devint un sport très populaire. Le peuple avide d'action afflua dans les camps d'entraînement qui se multiplièrent et les premiers paris furent organisés. Cette évolution progressive vers le sport toucha surtout la pratique (délimitation d'une aire de combat, usage de "bandes" de crin de cheval pour les mains et les avant-bras, coquille, etc...) mais peu les techniques elles-mêmes. Au 18è siècle, toute la société thaïlandaise - riches, pauvres, jeunes, vieux, hommes, femmes - pratiquait le Muay Thaï. Il fit partie de l'éducation des jeunes jusqu'en 1920 mais la fréquence des blessures obligea les autorités à l'interdire. Il réapparut en 1930 en adoptant les principes de la boxe anglaise : ring, gants, catégories de poids, etc...

Sources pour écrire cet article :

http://histoiredesmma.monsite.wanadoo.fr/

http://www.webmartial.com/

 


Tour du monde des arts martiaux et des sports de combat : 5ème étape - par Jeronimo le 21/10/2005 @ 17:09

Cinquième et dernier « sport-roi » avec le statut de discipline olympique : le Taekwondo.

 

Le Taekwondo est un art martial coréen qui a connu une très forte progression ces dernières décennies. Il est devenu officiellement sport olympique à Sydney en 2000 après avoir été en démonstration dès 1988, à Séoul (capitale de la Corée du Sud).

Il devance le Karaté (pourtant l’art martial le plus pratiqué dans le monde) et le Kung Fu Wushu (dont il existe plus de 400 styles différents en Chine) car il a su se fédérer, là où les autres sont encore divisés.

 

Dès l’unification de la Corée à la fin du VIIème siècle, les nobles pratiquaient déjà leurs formes de combat sans armes (proches de la lutte appelée « subak ») qui ont ensuite évolué, empruntant à l’occasion des techniques à la Chine. L’influence japonaise date, elle, seulement de 1911 lorsque le Japon envahit la péninsule et interdit les arts martiaux locaux. Les Coréens durent alors se mettre au Karaté. Pratiquées en secret, les techniques coréennes ne ressurgissent qu’à la libération. Rebaptisées « Taekwondo », elles ont incorporé au passage de nombreuses techniques nippones d’où le surnom de « karaté volant ».

En 1971, les écoles de Taekwondo se sont réunies et, deux ans plus tard, la fédération mondiale fut créée avec, le 23 mai 1973, l’organisation des premiers championnats du monde. De nombreux professeurs de Taekwondo sont alors envoyés dans le monde entier pour développer la discipline. Aujourd’hui, plus de 160 pays sont affiliés à la fédération mondiale !

 

Même si les Coréens restent les maîtres incontestés en compétition, une nouvelle règle aux Jeux Olympiques les empêche de rafler toutes les médailles (ou presque). Chaque pays n’a droit qu’à 4 représentants, toutes catégories confondues (hommes et femmes) ce qui assure une large répartition des pays récompensés.

Toutefois, les deux premiers champions olympiques (officiels, en ne comptant pas ceux de 1988 et 1992, en démonstration) chez les poids lourds (« plus de 84 kg ») furent quand même des Coréens : Kyong-Hun Kim (en 2000, ancien médaillé mondial chez les poids moyens) puis Dae Sung Moon (en 2004, ancien champion du monde des poids lourds).

 

Mais signe de l’internationalisation de cette discipline, l’actuel champion du monde (2005) est un Espagnol : Ruben Montesinos.

 

Mes sources pour écrire cet article :

"Le grand livre des arts martiaux et des sports de combat" de Bruno Hoffer, aux éditions De Vecchi; le magazine Science et Vie Junior n°193 d'octobre 2005; et le site internet de la fédération mondiale de Taekwondo http://www.wtf.org/


K1 Grand Prix de décembre : les appariements des quarts de finale - par Jeronimo le 21/10/2005 @ 16:37

Remy Bonjasky (PB) vs Hong-Man Choi (CdS)

Le double champion en titre (2003 et 2004) contre le nouveau phénomène du circuit K1 : un géant coréen de 2m18 (vainqueur à Osaka du footballeur américain Bob Sapp et ses 160 kg de muscles).

 

Ray Sefo (NZ) vs Semmy Schilt (PB)

Le guerrier maori (vice-champion du K1 en 2000) contre le karatéka géant (2m12) Semmy Schilt (également champion en « arts martiaux mixtes » dans la ligue de Pancrase).

 

Jérôme LeBanner (Fra) vs Peter Aerts (PB)

Les deux hommes forts parmi les huit finalistes et les deux seuls à s’être qualifiés par KO, à Osaka : LeBanner face à Goodridge (un autre costaud, champion du monde de bras-de-fer) et Aerts face à « Mighty Mo » (un bloc de 125 kg qui s’était permis de battre Bonjasky aux points cette année).

Assurément le combat le plus relevé des quarts de finale : un double finaliste (LeBanner en 1995 et 2002) contre un triple vainqueur (Aerts en 1994, 95 et 98)

 

Musashi (Jap) vs Ruslan Karaev (Rus)

Les deux plus légers du tournoi. Un combat à la portée du Japonais, chouchou du public. Mais attention au russe qui, s’il ne compte que 5 combats dans les règles du K1, totalise pas moins de 167 combats en Kick-Boxing dont 159 victoires (125 par KO) et à peine 8 défaites !


K1 sur Eurosport - par Jeronimo le 20/10/2005 @ 16:05

Ce soir, jeudi 20 octobre, à 22h30, Eurosport diffuse le K1 d'Osaka avec les 16 meilleurs combattants pieds-poings de la planète. On y retrouvera les 8 ayant réussi à se sélectionner tout au long de l'année lors de tournois qualificatifs, autour de la planète, et les 8 qui faisaient partie du tournoi final de décembre 2004.

Soyez nombreux autour de votre petit écran pour soutenir votre sport favori (le K1 étant le lieu de rencontre du Karaté, du Kenpo, du Kung Fu Wushu, du Kick-Boxing et de tous les sports de percussion) et votre compatriote : Jérôme LeBanner !


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