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Arts Martiaux Mixtes (MMA) dans le journal Le Monde - par Jeronimo le 21/05/2006 @ 09:17

Reportage
Les gladiateurs du "free fight"
LE MONDE | 20.05.06 | 15h09  •  Mis à jour le 20.05.06 | 15h09

Séance d'entraînement au Palais des sports de Nanterre, le 12 mai 
2006. Grégory Bouchelagem, préparateur physique, dit "The French 
Touch" contre Xavier Foupa-Pokam, assistant-réalisateur, dit 
"Professeur X".

PHILIPPE BORDAS

Ames sensibles, s'abstenir. La scène se déroule sur un ring de Tokyo, 
mi-avril. Ce jour-là, la vedette locale, Yasuhito Namekawa, se fait 
copieusement assaisonner par un Français du nom de Cyrille Diabaté, 
également surnommé "The Snake" (le serpent) en raison de son allure 
longiligne. Un crochet du droit a projeté le Japonais au sol, mais le 
"serpent" n'a pas fini de mordre pour autant. Il enchaîne - lui à 
genou, l'autre couché - avec une dizaine de châtaignes au visage, 
avant que l'arbitre n'arrête le combat. Le vaincu s'est relevé, 
vaguement sonné. Le vainqueur, lui, est rentré à Paris avec 2 500 
euros en poche.

Ancien champion de boxe thaïe, Cyrille Diabaté compte une vingtaine 
de combats professionnels en free fight (combat libre), discipline 
hybride qui mélange plusieurs sports de combat et arts martiaux (boxe 
anglaise, boxe pied-poing, judo, karaté, jiu-jitsu, lutte...). Il 
entraîne parallèlement une douzaine de combattants, trois fois par 
semaine, dans une salle de Nanterre. Son équipe s'appelle évidemment 
la "Snake Team". Il y a là Xavier Foupa-Pokam, surnommé "Professeur 
X" en référence à la saga cinématographique X-Men, Grégory Babene, 
dit "Blade" (la lame), ou encore Grégory Bouchelagem, appelé "The 
French Touch" car il monte sur le ring avec une cravate et une rose.

Derrière ces pseudonymes se cachent des jeunes gens ordinaires avec 
qui il n'est pas désagréable de boire un soda en fin d'après-midi. 
Ils sont étudiant, assistant réalisateur, animateur sportif... 
Agneaux dans le civil, loups sur le ring, tous ont combattu au Japon, 
en Grande-Bretagne, en Scandinavie... Toujours à l'étranger, et pour 
cause : l'organisation de "combats libres" est interdite en France, 
où cette discipline est jugée trop violente et contraire à l'éthique. 
Barbare, en un mot.

Le free fight est né après la seconde guerre mondiale au Brésil sous 
l'appellation vale tudo ("tout est permis", en portugais). L'idée de 
son concepteur, Helio Gracie, est alors de créer un sport de combat 
tellement ultime que l'on pourra ainsi désigner l'"homme le plus fort 
du monde", qu'il soit issu de la boxe, du judo, du karaté... Le 
concept va s'exporter. D'abord aux Etats-Unis, où est lancé en 1993 
l'Ultimate Fighting Championship (UFC), puis au Japon et en Europe. 
Une multitude d'organisations vont voir le jour. Certaines, comme 
l'UFC, organisent les combats dans une cage octogonale. Au Japon, la 
compétition phare s'appelle le Pride et remplit des stades de 
dizaines de milliers de personnes.

Le principe du free fight - également appelé MMA (Mixed Martial Arts) 
- est simple : mettre son adversaire KO, ou le contraindre à 
l'abandon par "soumission" après un étranglement ou une clé de bras. 
A peine plus habillés que les lutteurs de l'antique pancrace, les 
pugilistes ont le strict nécessaire : un protège-dents, une coquille 
et des gants sans doigts qui facilitent les saisies, mais augmentent 
le risque de saignement. Contrairement aux idées reçues, tous les 
coups ne sont pas permis. Morsures, doigts dans les yeux et autres 
coups de tête sont prohibés. Il est en revanche possible - avec des 
nuances selon les organisations - de cogner un adversaire au sol avec 
les poings, les pieds et les coudes.

Frapper un homme à terre ? Une idée inacceptable au pays de 
Coubertin. Pour justifier son interdiction, le ministre des sports, 
Jean-François Lamour, s'appuie sur une recommandation du Conseil de 
l'Europe de 1999, estimant que "la violence et les actes barbares et 
sauvages commis au nom du sport sont dénués de valeur sociale dans 
une société civilisée qui respecte les droits de l'homme". Le veto a 
été étendu, début 2006, aux chaînes de télévision par le Conseil 
supérieur de l'audiovisuel (CSA), lequel considère que la 
retransmission est "susceptible de nuire gravement à l'épanouissement 
physique, ment ou moral des mineurs". Eurosport et Multivision ont 
ainsi dû mettre un terme à leurs programmes. Cyrille Diabaté sourit. 
Un barbare, lui ? "Notre sport n'est pas de la bagarre de rue", dit-
il. Et le Snake d'expliquer que le free fight n'est pas aussi violent 
qu'il en a l'air. Que la variété des techniques (frappes, 
projections, clés...) réduit le nombre d'impacts. Qu'il est possible 
de gagner une rencontre sans asséner un coup. Ou encore que l'arbitre 
doit arrêter le combat dès qu'un participant n'est plus en mesure de 
se défendre. Quant à ces fameux coups donnés, d'une position à genoux 
sur un homme à terre, leur puissance est moindre que s'ils étaient 
donnés debout, avec tout le poids du corps. A l'entendre, sa 
discipline serait "de la rigolade" comparée à la boxe professionnelle 
où il n'y a qu'une seule cible à atteindre - la tête. "Regardez-moi, 
lance-t-il. J'ai 32 ans, je m'exprime normalement, mon visage n'est 
pas marqué."

Le free fight se flatte d'un faible nombre d'accidents graves - un 
mort recensé en treize ans - et d'être autorisé dans un pays comme la 
Suède où la boxe professionnelle est interdite. La protection des 
combattants s'est par ailleurs améliorée depuis la sauvagerie des 
premières années. Certains coups ont été supprimés, des catégories de 
poids et des tests médicaux ont été instaurés, des contrôles 
antidopage sont désormais diligentés dans les grands tournois où 
d'imprudents consommateurs de stéroïdes ont été suspendus.

Qu'en est-il, en revanche, dans les compétitions de seconde ou 
troisième zone qui foisonnent de manière anarchique en Asie ou en 
Europe ? Ici, ni encéphalogramme ni test HIV et encore moins de 
contrôle antidopage. "Un accident quelque part et l'interdiction que 
nous avons en France sera étendue à toute l'Europe", redoute Jérôme 
Le Banner, chef de file français, sous le nom de Geronimo, des 
"nouveaux gladiateurs".

Le ministère des sports n'a évidemment aucun moyen d'interdire les 
combats à l'étranger. Sachant que les techniques utilisées sont 
celles de sports dûment réglementés, les autorités ne peuvent pas non 
plus interdire les entraînements en France. Paradoxe qui aboutit à la 
naissance, en toute légalité, de plusieurs clubs français consacrés 
au free fight. Certains utilisent même des cages. Là encore, il est 
difficile de s'y opposer. Quand un fonctionnaire du ministère a 
demandé à Olivier Ribet, au Havre, de démonter la cage de sa salle de 
gym, le professeur d'arts martiaux a répondu : "De quel droit ? 
Montrez-moi une loi qui interdise cela." Le fonctionnaire est 
reparti, la cage est restée. Mais la salle a dû fermer, plus tard, 
pour raisons financières. Pourquoi des cages, au fait ? Pour le 
spectacle. Mais pas seulement. "Cela réveille des instincts 
primaires. Moi, je me sens bien dedans", confie Jean-François 
Lenogue, un autre free fighter français, comédien dans la vie. "Se 
battre dans une cage, cela n'apporte rien sur le plan sportif. C'est 
l'apologie de la violence", déplore-t-on dans l'entourage de M. 
Lamour. Pas question, partant de là, d'autoriser une activité qui 
risquerait de proliférer dans des zones où la violence est déjà 
largement enracinée, comme en banlieue.

Dans le club que dirige Bertrand Amoussou aux Pavillons-sous-Bois 
(Seine-Saint-Denis), une trentaine de jeunes hommes enchaînent ce 
soir-là, sans broncher, de douloureuses séries de pompes entre deux 
exercices. Des petites frappes de cités souhaitant "se défouler", le 
gaillard en voit arriver de temps en temps. Mais l'ancien 
international de judo les renvoie à leurs études ou les met au pas : 
"Le mec qui vient chez moi sera moins violent en sortant, affirme 
celui qui fut le premier Français à combattre - et gagner - au Pride, 
en 2004. N'oubliez pas que nous sommes à la croisée des arts 
martiaux. Il y a un code moral et une éthique à respecter. Il vaut 
mieux canaliser ceux qui ont envie de pratiquer le free fight."
Rédacteur en chef du magazine Fightsport, Bertrand Amoussou milite 
pour la légalisation de son sport. Il rêve d'enseignants diplômés, de 
clubs structurés et n'est pas contre la création d'un free fight 
adouci - "à la française" - sans coups de pied au sol. Pour lui, 
l'interdiction ministérielle risque surtout d'encourager 
l'organisation de combats clandestins. La rumeur court qu'il en 
existe déjà. En trouver trace n'est pas simple. Sauf sur Internet, où 
l'on peut visionner le corps-à-corps féroce ayant opposé, en 2003 à 
Perpignan, Damien Riccio au Brésilien Robin Gracie, dont la famille 
est connue pour lancer des défis aux meilleurs combattants. Sans 
arbitre et avec "coups de boule" autorisés, l'affrontement a duré 
onze minutes. Damien Riccio a gagné par soumission. Deux mois après, 
les Gracie sont revenus à Perpignan et ont saccagé le bar dans lequel 
il travaillait. L'épisode mériterait de figurer dans Scorpion, un 
film de Julien Seri consacré au free fight actuellement en tournage à 
Paris. Le rôle principal est tenu par Clovis Cornillac. L'acteur 
confie avoir été sceptique avant de s'engager : "On m'a donné des DVD 
pour que je me fasse une idée et j'ai été très choqué par ces combats 
que je pouvais à peine regarder, raconte-t-il. Le changement s'est 
opéré chez moi quand j'ai commencé à m'entraîner. J'ai alors compris 
que ce que je croyais être de la bagarre de rue est un vrai sport, 
avec des règles, une stratégie, des fausses pistes... La seule chose 
qui me dérange, c'est qu'il y a pas mal de sang, car on s'ouvre vite."

Le tournage terminé, Clovis Cornillac enchaînera avec le prochain 
Astérix dont il tiendra le rôle-titre. Il pourra alors envoyer autant 
de "bourre-pifs" qu'il voudra à des légionnaires romains...

Frédéric Potet
Article paru dans l'édition du 21.05.06

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3230,36-774105,0.html


Les meilleurs combattants du moment (tous sports confondus) - par Jeronimo le 20/05/2006 @ 14:29

La Boxe Anglaise est le sport de combat professionnel qui offre les plus grosses bourses à ses champions poids lourds. Malheureusement, elle est rongée par la division : pas moins de quatre grosses fédérations « mondiales » se disputent les titres et les champions. Le géant russe Nikolay Valuev est le champion WBA (la fédération la plus ancienne), l’Etatsunien Hasim Rahman est le champion WBC, Wladimir Klitschko d’Ukraine est le champion IBF, enfin, le Bélarusse Serguei Lyakhovich est le champion WBO ; pour ne citer que les principales fédération. Parmi ces hommes, c’est Wladimir Klitschko qui se détache grâce à son titre olympique obtenu en 1996 et sa précédente expérience de champion WBO de 2000 à 2003. Son retour au sommet cette année 2006 lui permettra peut-être d’effacer les revers subis pendant son « passage à vide » de 2003-2004 : TKO5 contre Lamon Brewster en 2004, TKO2 contre Corrie Sanders en 2003.

 

Maintenant que les pays de l’ex-URSS passent allègrement chez les professionnels, les Cubains vont sans doute pouvoir asseoir encore un peu plus leur domination chez les boxeurs amateurs. On pourrait déjà avoir trouvé un digne successeur à Teofilo Stevenson et Felix Savon-Fabre chez les poids lourds en la personne d’Odlanier Solis. Champion du monde 2005 chez les plus de 91 kg, champion olympique 2004 chez les moins de 91 kg, champion du monde 2003 et 2001 chez les moins de 91 kg, il possède déjà un brillant palmarès. Un homme à suivre.

 

Les sports amateurs passent par les Jeux Olympiques. La première discipline à avoir intégré cette prestigieuse compétition fut la Lutte Gréco-Romaine. Cette discipline jusque-là dominée par les Russes et les Scandinaves vient de se trouver un nouveau champion du monde, compatriote du boxeur Odlanier Solis : le Cubain Mijain Lopez Nunez (un « beau bébé » de 120 kg). Attention toutefois au Russe Khassan Baroev (champion olympique 2004) et au Turc Ismail Guezel (champion d’Europe 2006).

 

L’autre grande discipline olympique de préhension est la Lutte Libre. Traditionnellement, ce sont les Etatsuniens et les Russes qui ont trusté les victoires. Mais il ne faut pas oublier les « hommes forts » que sont les Turcs. Aydin Polatci est le champion du monde 2005. Mais la concurrence reste russe en la personne du quadruple champion d’Europe Kuramagomed Kuramagomedov (issu des moins de 96 kg).

 

D’abord venus d’Europe (avec des ancêtres remontant à l’Antiquité grecque), les sports de combats olympiques ont trouvé leurs pendants en Asie et plus particulièrement en Extrême-Orient. Le premier art martial à avoir intégré le giron olympique fut le Judo. Aujourd’hui, trois champions peuvent prétendre au titre de « meilleur judoka » de la planète. Tout d’abord, le Japonais Keiji Suzuki qui fut champion du monde 2003 en « toutes catégories » (Open), champion olympique 2004 en « poids lourds » (+ de 100 kg) et enfin champion du monde 2005 en moins de 100 kg. Un trio inédit. Mais le Russe Alexandre Mikhaylin, double champion du monde 2001 (« lourds » et « toutes catégories ») peut lui aussi prétendre à ce statut étant donné son nouveau titre de champion du monde 2005 en « poids lourds ». Mais il ne faudrait pas non plus oublier le Néerlandais Van Der Geest : champion du monde 2005 en « toutes catégories ». Vaste débat !

 

L’autre art martial venu du lointain Orient n’est autre que la Taekwondo, sport de percussion natif de Corée, qu’on surnomme aussi « Karaté volant » à cause de ses techniques de jambes spectaculaires. Sans surprise, c’est le Sud-Coréen Dae-Sung Moon qui a remporté les Jeux Olympiques 2004 en « plus de 84 kg » mais c’est un Espagnol, Ruben Montesinos qui est champion du monde 2005 (le Coréen Heo Jun-Nyung ne terminant que troisième de la compétition).

 

Toujours dans le domaine des disciplines pieds-poings, il faut absolument citer la compétition baptisée « K1 Grand Prix » par son fondateur Sensei Ishii qui a voulu qu’elle détermine quel sport était le plus efficace parmi les Karaté, Kenpo, Kung-Fu et autres Kick-Boxing. Bien souvent, ce sont des champion venus des Pays-Bas qui l’ont emporté et l’édition 2005 du K1 n’a pas dérogé à la règle en couronnant le géant (2m12) Semmy Schilt, expert de Karaté. Mais durant l’année 2006, Semmy Schilt a été battu par un autre Néerlandais, Peter Aerts (pas n’importe qui puisque triple vainqueur du K1), lui même récemment battu par encore un Néerlandais : Ernesto Hoost (tout simplement quadruple vainqueur du K1).

 

Equivalent du K1 Grand Prix mais pour les sports de préhension, il existe depuis 1998 une compétition qui veut permettre à tous les champions issus des disciplines excluant les frappes de se mesurer : le Championnat de Lutte de Soumission d’Abu Dhabi. Le triomphateur de l’édition 2005 fut le Brésilien Roger Gracie double vainqueur des tournois « moins de 99 kg » et « toutes catégories » qui battit pour l’occasion son compatriote Ronaldo « Jacare », qui s’était montré le meilleur lors des championnats du monde de leur discipline d’origine (le Jiu-Jitsu Brésilien).

 

Pour conclure, le superlatif des sports de combat doit être reconnu dans les Arts Martiaux Mixtes (MMA en anglais). On y retrouve des lutteurs, des judokas, des kick-boxuers de toutes origines, des karatékas et des experts de jiu-jitsu. Japonais, Russes, Néerlandais, Brésiliens et bien d’autres viennent rivaliser sur les rings du Japon. Depuis plus de trois ans maintenant, on connaît l’identité du meilleur combattant de la planète : il s’agit du triple champion du monde de Sambo Combat, le Russe Fedor Emelianenko (1m83, 106 kg).


Croche : un nouveau chantier - par Jeronimo le 20/05/2006 @ 09:48

Cinq années après la création de l'AS La Croche, quatre ans après l'ouverture de la salle multi-arts martiaux "Académie La Croche", avec la création de trois nouveaux clubs de Croche (Sainte-Suzanne, Saint-André, Bois-de-Nèfles) et la sortie du livre en guise de conclusion, on peut considérer que la Croche est enfin connue et reconnue (c'est officiel au niveau régional grâce au Comité Régional de Lutte). Le premier chantier a donc abouti (et la presse s'en est largement fait écho, que ce soit la presse écrite ou les journaux télévisés).

Notre prochiane ambition est tout naturellement que cette ancienne activité, ludique, traditionnelle, devienne un sport de plus en plus pratiqué, d'abord sur le plan local puis hors du département.

Eu égard à toutes les expériences  manquées  (exemple du Sambo), la FFL et la FILA s'impliqueront uniquement quand l'expérience régionale aura fait ses preuves.

Cela signifie qu'à partir de maintenant, c'est avec le Comité Régional de Lutte qu'il va falloir travailler pour former des cadres, des arbitres et organiser des compétitions. Heureusement pour la discipline, le président de ce Comité, Mr René Mardaye, est un ancien pratiquant de Croche, puis de Catch et enfin de Lutte Gréco-Romaine. Il est très motivé par le projet de
réhabilitation de la Croche (ses racines) et nous comptons beaucoup sur lui pour développer ce sport.

Au début, nous ne serons que 3 ou 4 clubs en compétition (ceux qui pratiquent actuellement la Croche). Dans un deuxième temps, nous espérons inciter les autres clubs de luttes olympiques (une douzaine au total dans le Comité Régional) à nous rejoindre. Et dans un troisième temps, nous nous adresserons aux personnes extérieures, celles qui cherchent désespérément des structures fédérales pour pratiquer une activité assimilée au Grappling/JJB (qui elles, ne sont toujours pas reconnnues en France).

Après le travail de reconnaissance, de sauvegarde du patrimoine, nous nous engageons désormais sur un deuxième chantier : la pratique sportive à grand échelle.


Fedor Emalianenko ne défendra pas son titre lors du 2ème tour du Pride Grand Prix - par Jeronimo le 19/05/2006 @ 09:47

Fedor Emelianenko, champion "poids lourds" du Pride FC depuis 2003 (victoire contre Antonio Rodrigo "Minotauro" Noigueira) et vainqueur du Pride Grand Prix 2004 ne participera finalement pas au Grand Prix 2006.

Son partenaire d'entraînement Roman Zentsov et son frère Alexander Emalianenko avaient participé au premier tour et Zentsov (vainqueur de Gilbert Yvel) devait laisser sa place à Fedor lors du second tour. Malheureusement, l'intervention chirurgicale subie par Fedor nécessitera une plus longue convalescence et Fedor ne pourra pas combattre le 1er juillet.

Pour la plus grande satisfaction des fans, c'est Wanderlei Silva (le champion en titre des moins de 93 kg) qui intègrera le tournoi au second tour. La rumeur indique même qu'il serait opposé à "Minotauro" (partenaire d'entraînement de Ricardo Arona contre lequel Wanderlei vient de livrer deux combats à l'issue extrêmement serrée).

Entretien de Fedor Emelianenko sur www.fightsport.com avant décision des médecins :

Interviewer: What was your impression of the May 5th event?

Fedor: Firstly, I feel bad that Aleks lost, very disappointed. That is my first impression. Zentzov winning is my only consolation. The results of the other fights were basically as expected.

Interviewer: What was the cause of Alexander's loss?

Fedor: Perhaps I think something was lacking in the preparation phase. Also, what I want to say is that in the first round Josh Barnett seemed to be rubbing something into his eyes and called for a break in the action. That stopped the fight and there was a doctor to check him, but the results were fine. It was apparent that there was nothing wrong with the eye, so I don't understand why he did that.

Interviewer: Afterwards Josh pointed at you and provoked you.

Fedor: I think that sort of demonstration is a very good thing (laughing). Josh is a good fighter, a strong fighter, but he was defeated twice by Mirko Cro Cop. Comparatively, I think Josh is less than Mirko, and he will fail when faced with a fighter of that level. Of course I respect him as a fighter.

Interviewer: Is Josh worthy of fighting you, having defeated your brother?

Fedor: It's not a matter of worthiness or not. I defeated Mirko, although it was not without hard work. Considering that he lost to Mirko twice, it's apparent that there is still a gap between us. But I am ready to fight anyone, so I don't underestimate anyone.

Interviewer: How about the comments by Mr. Sakakibara that he wants Fujita or Yoshida to go against you, if you are able to participate in the second round of the GP?

Fedor: I feel Fujita-san is a good fighter. However, it took a while for him to beat Thompson. I thought Fujita could've ended the fight earlier. Yoshida, well this matchmaking was lucky for him.

Interviewer: Did Fujita seem to have improved since fighting with you?

Fedor: To be honest, it seemed he has not improved, although we haven't seen him fight much so I don't know. He seemed weaker than the time when he fought me.

Interviewer: One year ago you said you were interested in fighting Yoshida, as he is a gold medalist. What is your feeling now?

Fedor: I still want to fight against Yoshida-san, because I always want to fight against the wonderful player who has captured an Olympic medal. Because Yoshida is the type of fighter who fights thinking how to show a great technique. Fighting him is very interesting.

Interviewer: T.K. Kohsaka retired after his fight. What did you think?

Fedor: It was very strange to see that T.K. did not show his usual high level technique. He dared to fight strike-for-strike with Hunt, which is Hunt's strong point. I thought that being defeated by Hunt without showing his own strong points was very strange. Why did T.K.-san do that? Why were his good techniques not shown and opportunities not taken? I think it was possible to show the techinques in which he had more advantage.

Interviewer: Do you have a message for T.K.?

Fedor: That fight is only a strange impression for me, rather than any feeling about retirement. I think T.K. could have put out his strong points and shown his merit quickly. It is not necessary to bravely show your weak points. Why did he not use his multiple techniques, even in the mount? I am baffled.

Interviewer: Since you fought against T.K., do you have any feeling about his retirement?

Fedor: No. If a professional athlete chooses to retire, there is no special feeling about it.

Interviewer: I see, then what do you think about Hunt's statement that he will overthrow you in the second round?

Fedor: He is a good fighter, but it is very doubtful that he can win in the second round. I think he will possibly be defeated by someone.

Interviewer: Who then becomes the most formidable opponent for you in the second round?

Fedor: The fighter who has improved the most, especially with new techniques that have not been used before. There are many fine fighters and the results were roughly as expected, but no one showed any new techniques or considerable growth. Therefore I don't think there is a most formidable opponent for me. Perhaps I will get to face such an opponent, but the fact is that for many of them, this will be their second defeat by my hand. However, Noguiera is there, but we have fought twice and he lost both fights. So with that in mind, I don't think there is a significant foe. If Nogueira has acquired some new skills then he might be a wonderful opponent, but after seeing the first round I don't think he's shown any considerable growth.

Interviewer: That is a confident statement! What is the state of your right hand now?

Fedor: The doctor has seen it again, but nothing can be said at the current stage. There is still a metal plate in it now.

Interviewer: Will you be able to participate in the second round?

Fedor: I want to participate very much. I will fight in July or whenever the hand heals.

 

Annonce officielle du www.pridefc.com :

A confused PRIDE Openweight Grand Prix has gained some clarity.

PRIDE Heavyweight Champion Fedor Emelianenko has officially withdrawn from the PRIDE Openweight Grand Prix. Emelianenko, who underwent surgery on his right hand to repair a damaged thumb, will not be ready in time to compete on July 1st as was previously hoped. Dream Stage Entertainment slotted Emelianenko into the second round, giving him a bye through the first round on May 5th, hoping that he would be sufficiently healthy enough to fight. However, a Russian doctor informed DSE President Nobuyuki Sakakibara that the earliest that the metal plate in Fedor's hand could be removed is in June.

Emelianenko apologized to the Japanese fans for his lingering injury, and went on to state that he would like to fight any time in the late year, whether it be at the Openweight Grand Prix finale in September, at PRIDE's first American show in Las Vegas in October, or on New Years Eve at Otoko Matsuri.

In Emelianenko's place, will be PRIDE Middleweight Champion Wanderlei Silva. Silva, who was scheduled to be in the first round of the Grand Prix before contract disputes, is rumored to be taking on Antonio Rodrigo Nogueira.

Also, Croatian superstar Mirko "Cro Cop" Filipovic's teammates from the Team Nokaut have confirmed that despite a deep bone bruise to his left ankle, Filipovic will indeed participate in the July 1st Openweight Grand Prix event at Saitama Super Arena


K1 World Max Final Tournament - par Jeronimo le 19/05/2006 @ 09:31

Le K1, c'est le Grand Prix "toutes catégories" pour les sports de percussion (Karaté, Kempo, Kung-Fu, Kick-Boxing, etc), c'est aussi la branche MMA (le K1 Heros) et c'est enfin le K1 Max : un tournoi pieds-poings pour des hommes de 70 kg maximum.

On connaît enfin les appariements pour le tournoi final de la 5ème édition :

TOURNOI:

MASATO (vainqueur de la 2ème édition) VS KOHIRUIMAKI TAKAYUKI

ANDY SOUWER (vainqueur de la 4ème édition) VS VIRGIL KALAKODA

ALBERT KRAUS (vainqueur de la 1ère édition) VS GAGO DRAGO

BUAKAW POR PRAMUK (vainqueur de la 3ème édition) VS SATO YOSHIHIRO


SUPERFIGHTS:

YODSEANKRAI FAIRTEX VS KAMAL EL AMRANI

TATSUJI VS SHIRASU YASUHITO

RYAN SIMSON VS ARTHUR KYSHENKO

KOZO TAKEDA VS ???

K1 Heros (MMA) du 3 mai 2006 - par Jeronimo le 19/05/2006 @ 09:21

Dans sa branche dédiée aux Arts Martiaux Mixtes (MMA), le K1 s'est trouvé une vedette chez les petites catégories : Norifumi "Kid" Yamamoto. Il affrontait cette fois une autre Japonais Kazuyuki Miyata ... et l'a emporté par KO en 4 secondes de combat ! Record battu !

Mais les organisateurs ne se sont pas contentés de cette seule affiche.

Parmi les autres résultats, on notera la victoire expéditive de l'Indien (une nationalité pas si courante en MMA) "Black Mamba" face au pourtant très bon Hideo Tokoro qui avait mis KO le champion de Shooto Alexandre "Pequeno" Nogueira et aussi obtenu un match nul contre Royce Gracie en pesant pourtant près de 20 kg de moins.

La victoire (enfin) du vétéran Don Frye contre l'ancien yokozuna de Sumo "Akebono", celle de l'homme au visage de Shrek (Antonio Silva) contre le lutteur Tom Erickson, et du Japonais Kazuhiro Hamanaka contre le sumotori "Wakashoyo", montrent que le K1 Heros est aussi capable d'offrir des combats de poids lourds (super-lourds même).

Touts les détails à : http://www.so-net.ne.jp/feg/k-1gp/top715.htm


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