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Récapitulatif des saisons de croche 2006 à 2010 - par Jeronimo le 03/12/2010 @ 19:06

Récapitulatif des saisons de croche 2006 à 2010

 

Catégorie 120 kg

En 2008, à l’occasion des premiers Championnats de la Réunion de Croche, c’est le vainqueur des Jeux des Îles de l’Océan Indien 2007, le jeune lutteur Emmanuel Sénardière, qui s’impose face à deux vétérans de haut niveau régional : Alexandre Hoarau (judoka médaillé de bronze aux mêmes JIOI 2007) et Jean-Pierre Tarley (crocheur et lutteur, champion de la Réunion).

En 2009, un autre jeune poids lourd, Stéphane Fontaine (samboïste, double champion de la Réunion) bat deux combattants de grappling très expérimentés (champion de la Réunion dans leur catégorie d'âge respective) Thierry Grondin et Didier Delettre.

En 2010, c’est un espoir qui est récompensé, Rodolphe Marlin, mais pas encore au niveau de son professeur Jean-Pierre Tarley.

On espère que la saison 2010-2011 verra enfin l’affrontement entre les deux champions invaincus en croche : Stéphane Fontaine et Emmanuel Sénardière.

 

Catégorie 96kg

En 2007, c’est Eric Layemar (crocheur) qui dominait en « toutes catégories » (relevant les défis de combattants évoluant entre 75kg et 120kg). Malheureusement, il dût se retirer après une série de 6 six combats officiels sans défaites (5 victoires dont 4 avant la limite et 1 nul).

Durant les saisons 2008 et 2009, Yves « Charlie » Preira connut la même domination … en mieux ! Sa série sans défaite s’éleva à 14 combats (13 victoires dont 10 avant la limite et 1 nul) ; avec au passage deux titres de champion de la Réunion de croche (et un de grappling). Il ne concéda qu’un nul face à une force de la nature : le Malgache Patrick-Louis Ferdinand (champion national en lutte libre).

En 2010, c’est un partenaire de club de Patrick-Louis Ferdinand qui décrocha le titre de champion de la Réunion après une saison sans défaite : Romain Paumel.

Pour l’année 2011, les opportunités sont nombreuses avec le départ de « Charlie » Preira en France métropolitaine. L'idéal serait une revanche entre Romain Paumel (du Clan K) et Johan Julienne (Julienne s'étant imposé avant la limite en 2008) puis le vainqueur contre Patrick-Louis Ferdinand (lui aussi du Clan K), qui avait battu Johan Julienne aux points 1-0 en 2009.

 

Catégorie 84kg

En 2008, le jeune samboïste Boris Gamel (22 ans) avait battu les combattants les plus expérimentés de sa catégorie : Jérôme Bockstaël (sambo), Gérard Allouette (sambo), Pascal Puylaurent (grappling) et Johny Adelin (lutte).

Mais en 2009, c’est un phénomène encore plus jeune et encore plus impressionnant qui a tout balayé : Bruno Courteaud (19 ans). Lui qui remporte tous les tournois « toutes catégories » en jiu-jitsu ou en grappling à la Réunion, en ne pesant pourtant que 75-80kg, a battu tous ses adversaires avant la limite, sauf son frère David en finale des championnats de la Réunion. Pour lui résister, maintenant qu’il est devenu un senior, on ne voit guère que des athlètes du niveau de Cédric Certenais (médaillé mondial en sambo, champion d'Europe en jiu-jitsu brésilien, judoka de niveau national, ... chez les -82kg et CTR de MMA) ou Gaël Grimaud (champion d’Europe de ju-jitsu fighting, vainqueur des JIOI 2007 en judo chez les -81kg) pour au moins lui résister.

L’année 2010 a récompensé un espoir : Jimmy Mahé.

En 2011, on espère le retour des frères Courteaud et on se demande qui osera les affronter !

 

Catégorie 74kg

En 2006, Lino Charlettine et Florent Chaussalet avaient été les pionniers de la croche.

En 2007, Dominique Prix (free fight) établissait un premier record en inscrivant 10 points lors d’un même combat (victoire 10-1).

En 2008, c’est le meilleur élève de Dominique Prix, Aurélien Fosse (ancien membre de l’équipe de France de gymnastique) qui remportait le premier titre historique de champion de la Réunion de croche face à un autre excellent combattant judoka et samboïste : David Vidot (une finale très serrée et forcément contreversée). A noter que le record de points fut battu cette année-là, porté à 14-2 par le technicien Yves Kérenfort.

En 2009, c’est un style explosif qui s’impose en la personne de Giovany Sorlier (grappling) qui établit quant à lui le record de la victoire la plus rapide en croche : en 13 secondes !

En 2010, c’est un espoir qui est récompensé : Mathieu Debast ; un étudiant de 24 ans qui écrit un mémoire universitaire sur … la croche bien sûr.

En 2011, on espère qu'Aurélien Fosse et Giovany Sorlier pourront se mesurer l'un à l'autre (ce dernier revenant des championnats d'Europe de jiu-jitsu avec une médaille de bronze en "master" -73kg) !

 

Catégorie 66kg

En 2007, la catégorie était dominée par le très jeune Kévin Kaimandjo (17 ans) formé au free fight.

Mais à partir de 2008, c’est un combattant très expérimenté qui s’installa au sommet de la catégorie : Wilfrid Sellaye. Déjà multiple champion de la Réunion de lutte libre et de lutte gréco-romaine, il n’hésita pas à s’essayer à de nouvelles règles au risque de se discréditer . Bien au contraire, il démontra toute l’efficacité de son style et en fit réfléchir plus d’un. De compétition en compétition, le niveau monta, chacun affinant sa stratégie pour le vaincre. C’est Didier Maillot (grappling) qui fut le premier à y parvenir. Dès lors, Wilfrid Sellaye comprit qu’il était arrivé au bout de sa gamme technique et qu’il devait s’enrichir de nouveaux gestes. Il prit sa revanche sur Didier Maillot, gagna un deuxième puis un troisième titre, cette fois en finalisant tous ses adversaires.

Pour 2011, on peut rêver à une revanche entre Wilfrid Sellaye et le champion d'Europe de jiu-jitsu brésilien Jean-Marie Guézélot ou une belle entre Didier Maillot et Wilfrid Sellaye ; ou mieux encore : demi-finales Wilfrid Sellaye vs Didier Maillot d’un côté et Francis Boyer (judo, MMA, vainqueur de Wilfrid Sellaye en grappling) vs l’éternel dauphin de Wilfrid Sellaye : Rafaël Alexandrino. Puis la grande finale !

 

Catégorie 60kg

Tony Verbard (croche) est invaincu dans sa catégorie de poids depuis 2006. Les seules défaites à son palmarès n’ayant été concédées que face à des combattants d’une (66kg) ou deux (74kg) catégories supérieures. Un seul homme a réussi à le pousser jusqu’aux prolongations à poids égal : Robert Clain ; mais en devant s’incliner lors du « point en or ».

En 2011, c’est un espoir qui est récompensé : Stéphane Gaudens (ex-champion 2008 des 55kg). Que va faire Tony Verbard en 2011 ? Rester encore chez les 60kg ou chercher de nouveaux défis dans la catégorie supérieure ?

 

Catégorie 55kg

Les combattants sont rares à ce poids-là. D’ailleurs, une seule année a récompensé un champion de croche : 2008, avec Stéphane Gaudens.


Histoire du Jujitsu (du médiéval au contemporain) - par Jeronimo le 02/12/2010 @ 14:30




Le ju jujitsu est né au Japon. Il a été créé puis transmis et enrichi à travers les siècles, par les samouraï. Ensuite, les ronin ont perpétué cet héritage et leur enseignement s'est alors ouvert à toutes les couches de la population.

Le ju-jitsu est un art ancestral dont l'évolution se poursuit encore aujourd'hui...

L'histoire politique du Japon fût longtemps dominée par les rivalités opposant les différents uji (clans militaires).

Cette situation favorisa l'émergence d'une caste guerrière, les samouraï. Ils formaient une noblesse mineure mais dont l'accès était rigoureusement fermé.

Le rang de samouraï était en effet héréditaire. Tout fils de samouraï, à moins de s'exclure lui-même, embrassait la profession des armes. Dès l'époque Kamakura (1185-1333) qui correspond au début de l'ère féodale, le samouraï dédiait sa vie à son clan ou à son seigneur, sans rechercher d'avantages, de faveurs ou de contrepartie. C'est là une différence essentielle avec le chevalier européen qui nouait une relation d'ordre contractuel avec son suzerain, lui offrant certes son épée et sa fides (fidélité) mais en échange de sa protection.

Pour le samouraï, l'idée du devoir et du sacrifice était encore plus solidement ancrée, le lien l'unissant à son seigneur étant d'origine divine.

Sur le champ de bataille, revêtu d'une armure, le samouraï combattait à cheval et était le seul guerrier autorisé à manier le sabre (il portait le sabre long et le sabre court). Dans ses déplacements, il était accompagné par les chugen (domestiques) et les zoshiki (soldats de rang inférieur) qui le suivaient ou le précédaient, à pied.

Etaient considérées comme indignes d'un samouraï, toutes les activités ne se rattachant pas directement à la pratique des armes. Une grande partie de leur temps était donc consacrée à l'art du combat. L'escrime du sabre, l'équitation, le tir à l'arc (l'équivalent japonais du mot chevalerie est kyuba no michi, littéralement "la voie du cheval et de l'arc") faisaient partie de leur entraînement. Au fil des ans, les armures étant devenues plus légères, les samouraï développèrent aussi des techniques de combats en corps à corps et à mains nues. Ainsi, un samouraï désarmé pouvait encore se défendre contre un adversaire muni de son sabre. Le Ju-jitsu, textuellement "l'art de la souplesse" était né. Les différents clans de samouraï mîrent au point des techniques secrètes, jalousement gardées.

A l'époque d'Edo (1603-1768), le Japon se trouva en partie pacifié et le bakufu (gouvernement militaire) centralisa son pouvoir. Les bushi (guerriers) dûrent quitter les campagnes pour intégrer les villes fortifiées. Par la force des choses, les samouraï fûrent obligés de se reconvertir et devînrent des guerriers lettrés, leurs fonctions évoluant alors vers des tâches administratives. Mais beaucoup fûrent moins chanceux ou moins aptes à tenir ce nouveau rôle. Ruinés, ils adoptaient (en échange d'une somme d'argent) le fils d'un citadin, le faisant ainsi accéder au rang de samouraï. Certains devenaient même artisans. A cette époque, les samouraï représentaient moins d'un dixième de la population totale de l'archipel nippon. Leur situation était très variable. En haut de l'échelle, on trouvait le hatamoto, vassal direct du shogun (les shogun sont les dictateurs militaires qui, à partir du XII ème siècle et jusqu'au XIX ème siècle, gouvernèrent le Japon). Le hatamoto touchait des sommes importantes. Mais le simple ashigaru (grade le plus bas pour un samouraï) n'était qu'un des vassaux du hatamoto et devait se contenter d'une maigre pension. Dès le début du 17 ème siècle, les shogun Tokugawa abolirent ou réduirent considérablement les fiefs.

En conséquence, les damyo (seigneur) ne pûrent conserver leurs armées. Un grand nombre de samouraï se retrouvèrent alors sans damyo à servir. Vers 1650, le Japon comptait quelques 500 000 ronin, nom donné à ces samouraï désormais sans attaches et sans maître. Ils étaient obligés de louer ponctuellement leur service, parcourant le Japon à la recherche d'un engagement. Pour survivre, nombre d'entre eux, ouvrirent des écoles et enseignèrent à leurs élèves la pratique des armes, la stratégie et les techniques de combats à mains nues. Les premières ryu (écoles) de ju-jitsu tenues par des samouraï mais ouvertes à tous, vîrent ainsi le jour. Elles se développèrent avec succès, au point que plus de 700 systèmes fûrent officiellement répertoriés, à la fin du 18 ème siècle. Mais ce n'est qu'à l'époque Meïji (1868-1912) que les diverses techniques fûrent codifiées, après que les samouraïs aient perdu le droit de porter le sabre et que les duels aient été définitivement interdits.

Avant de fonder le judo, Maître Jigoro Kano (1860-1938) fût un pratiquant assidu de ju-jitsu (écoles tenjin-shinyo-ryu puis kito-ryu, seguchi-ryu, seigo-ryu...). C'est à partir des techniques de ju-jitsu qu'il élabora le judo. Même chose pour Maître Morihei Ueshiba (1883-1969) qui étudia également des styles de ju-jitsu (yagyu-shinkage-ryu, daito-ryu... ) avant de créer l'aikido. En France, les premières démonstrations de ju-jitsu eûrent lieu dans les années 1900. Mais la pratique du ju-jitsu demeura très confidentielle. En 1924, Keishichi Ishiguro effectua des démonstrations, à Paris. En 1933, ce fût au tour de Jigoro Kano et de Hidechi Nagaoka. Mais c'est Mikinosuke Kawaishi (arrivé en France, en 1935) qui popularisa vraiment le ju-jitsu. Il publia des ouvrages de judo ainsi qu'une méthode de self-défense. Jusqu'au début des années 50, les pratiques du judo et du ju-jitsu étaient étroitement liées dans les dojo (lieu d'entraînement). Mais avec l'essor pris par le judo, le ju-jitsu tomba en désuétude et de nombreuses techniques jugées dangereuses fûrent alors abandonnées.

CCes dernières années, on assiste à un regain d'intérêt pour le ju-jitsu, en partie dû aux succès remportés par les combattants brésiliens lors des tournois de combats libres. Le terme de "ju-jitsu brésilien" est cependant impropre car toutes les techniques employées (atemis, projections, luxations, étranglements, etc. ) sont directement issues des méthodes de ju-jitsu japonais, la seule originalité des ju-jitsuka brésiliens étant de mettre l'accent sur les phases de combat au sol. Au 19 ème siècle, les pays d'Amérique du Sud et principalement le Brésil, connûrent des vagues d'immigration japonaise. Ce sont à n'en pas douter, certains de ces immigrés nippons qui importèrent les techniques de ju-jitsu. Mais au Brésil, à la différence de l'Europe et des Etats-Unis, la pratique du ju-jitsu continua à se développer et ce, parallèlement à l'essor des nouveaux arts martiaux japonais (judo, aikido, karaté). C'est là sans doute, l'une des raisons de la valeur actuelle des combattants brésiliens.

Source : http://jujitsu.contemporain.free.fr/

Stage de Ju-Jitsu Contemporain le 12 décembre 2010 - par Jeronimo le 01/12/2010 @ 12:57

Un stage de ju-jitsu contemporain aura lieu le dimanche 12 décembre de 9h30 à 16h00.

Le lieu du stage et le rendez-vous seront au dojo du stade Michel Volnay à Saint-Pierre, rue Cayenne .

Le programme :

-les différentes boxes ( percussions)
- les projections
- le travail au sol
- les méthodes entrainements '(combat et assaut ) en jujitsigi et sans (short tee shirt)
- Self défense de rue
- Taiso (gym japonaise)

Prévoir :  Sa tenue gants etc .... (short tee shirt et gi)

Chacun doit prévoir de quoi se restaurer

Le stage est tous publics a partir de 11ans (les parents doivent fournir une autorisation parentale)

Pour tous les participants le cout est de 20 euros( nombre de places limité)

réservation au 0692223582


Premiers pas du kourach à la Réunion - par Jeronimo le 29/11/2010 @ 17:46

Lors de l'interclubs de lutte traditionnelle réunionnaise "la croche" du 5 décembre 2010, les juniors volontaires seront invités à essayer la lutte traditionnelle d'Ouzbékistan : le "kourach". Ce sera aussi l'occasion pour les officiels de se familiariser avec l'arbitrage. Indulgence de part et d'autre de rigueur, donc !

Pour tout savoir ou presque sur le règlement : http://www.lacroche.re/file/reglement_Kourach_ufolep.doc

Que vous pouvez télécharger à http://www.lacroche.re/download.php?lng=fr


"La croche pour tous" (7èmes interclubs de croche) - par Jeronimo le 28/11/2010 @ 18:29

Pour la quatrième saison consécutive, la commission "luttes traditionnelles" du Comité Régional de Lutte de la Réunion va organiser des interclubs et un championnat de la Réunion de lutte traditionnelle réunionnaise "la croche".
Cette année aura une valeur toute particulière puisqu'après la reconnaissance sportive par la Fédération Française de Lutte (FFL) et la Fédération Internationale des Luttes Associées (FILA), la croche bénéficie cette année d'une reconnaissance institutionnelle de la part du Conseil de la Culture, de l'Education et de l'Environnement (CCEE) qui l'a présentée à l'ensemble des Départements d'Outre-Mer (DOM) comme le sport identitaire de la Réunion, endémique et fruit du métissage.
La première compétition de la saison 2010-2011 en croche aura lieu dimanche 5 décembre 2010 à Saint-Paul de la Réunion de 9h à 18h, au complexe sportif "Saint-Paul 4" (au lieu-dit des Trois Chemins : après le rond point de Savanna, prendre la direction de Bois de Nèfles Saint-Paul, 1ère sortie à gauche avant la Plaine Saint-Paul).
La part belle sera donnée aux enfants ("bichiques", poussins et benjamins) âgés de 4 à 13 ans, qui évolueront selon les règles de la lutte libre olympique (sans clés articulaires ni étranglements) : travail de projection et de contrôle au sol.


Mais ce sera aussi l'occasion du retour de l'élite chez les adultes (juniors-seniors) après une saison 2009-2010 orientée vers la détection de nouveaux talents ("espoirs").

Rappelons qui sont les têtes de série, catégorie de poids par catégorie de poids :

120kg :

- les champions 2009 et 2008 : respectivement Stéphane Fontaine (RKH) et Emmanuel Sénardière (GSP)

- les finalistes 2009 et 2008 : Thierry Grondin (AOP) et Jean-Pierre Tarley (BdN)

- et le meilleur espoir 2010 : Rodolphe Marlin (BdN)

96kg :

- les champions 2010, 2009 et 2008 : Romain Paumel (CK), Patrick-Louis Ferdinand (CK) et Yves "Charlie" Preira (GSP)

- le finaliste 2008 : Lionel Sanchez (RKH)

84kg :

- les champions 2009 et 2008 : Bruno Courteaud (AOP) et Boris Gamel (RKH)

- le finaliste 2009 : David Courteaud (AOP)

- et le meilleur espoir 2010 : Jimmy Mahé (CLPJ)

74kg :

- les champions 2009 et 2008 : Giovany Sorlier (AOP) et Aurélien Fosse (FF)

- les finalistes 2009 et 2008 : Lino Charlettine (ALC) et David Vidot (RKH), et Johny Adelin (CLPJ) passé des 84kg aux 74kg

- et le meilleur espoir 2010 : Mathieu Debast (ALC)

66kg :

- le triple champion 2010, 2009 et 2008 : Wilfrid Sellaye (CLPJ)

- le double finaliste 2009 et 2008 : Rafaël Alexandrino (FF)

60kg :

- le double champion 2009 et 2008 : Tony Verbard (BdN)

- les finalistes 2009 et 2008 : Robert Clain (AOSD) et Alexis Bour (RKH)

- et le meilleur espoir 2010 : Stéphane Gaudens (CK)

Des "bichiques" aux champions, la croche c'est un sport pour tous !


Idée de cadeau pour les fêtes ... - par Jeronimo le 28/11/2010 @ 06:43

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